Petit merle aux ailes lustrées de noir
Tu sautilles de joie chantant l'espoir
Aube naissante tu siffles de bonheur
Toujours prêt à redonner de l'ardeur
À tes amis les oiseaux qui paresseux
Ne volent pas encore dans les cieux
Dés le matin tu explores les champs
Avec humeur tu siffles le printemps
Toujours à l'affut d'un festin raffiné
Tu voles vers de nouvelles contrées
Trouve une branche pour te percher
Et enfin siffler ce bonheur tant rêvé
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